Phoenix a un certain nombre de lieux romantiques partout, pour un homme désespérément amoureux à proposer à sa future mariée. Si vous cherchez à proposer à votre charmante femme, vous pouvez choisir parmi l’un des différents endroits suggérés ci-dessous. Scottsdale Gondola Ride Le Hyatt Regency Resort de Scottsdale, situé à Gainey Ranch, offre une promenade en gondole vraiment soignée. Cette balade romantique sur les voies navigables du ranch peut être une expérience mémorable. Il y aurait une troisième personne dans la gondole, effectuant des tâches de navigation, bien sûr. Pour beaucoup, cela pourrait être gênant. Quoi qu’il en soit, le trajet dure environ dix à quinze minutes. Vous devez donc répéter et vous préparer avec vos propositions de lignes bien préparées. Le coût du trajet n’est que de 10 $ par personne. Cependant, le trajet est gratuit lorsque vous dînez au restaurant Alto. Prenez de la hauteur Un tour privé en montgolfière, flottant au-dessus du ciel de Phoenix, peut également être un excellent endroit à proposer. Comme les vols en montgolfière se font juste après l’aube ou avant le crépuscule, les couleurs du ciel peuvent rendre l’atmosphère plutôt romantique. Avec un ciel brillamment peint comme toile de fond combiné au silence de l’aube ou du crépuscule, vous pouvez dire ces mots magiques en toute confiance et commencer la relation de vos rêves. Bien sûr, il y a toujours une personne dans le panier avec vous, qui navigue dans le ballon et pour beaucoup, cela peut être gênant. Mais si elle vous dit non, le navigateur peut être utile pour empêcher que quelqu’un soit jeté à la mer. Faites une randonnée Vous ne devez pas dépenser beaucoup d’argent et emmenez votre futur partenaire de vie dans un restaurant coûteux pour vous proposer. Vous pourriez faire une randonnée à travers certains des incroyablement beaux terrains de Phoenix pour cette sensation romantique spéciale. Avec les oiseaux qui chantonnent en arrière-plan, l’air qui souffle doucement sur votre visage et l’odeur des différentes fleurs sauvages de la forêt qui traversent les airs, ce pourrait être l’un des décors les plus romantiques de votre proposition. Top of the Rock Situé dans le Buttes Resort, le Top of the Rock est l’un des meilleurs restaurants de la vallée. Il offre également une vue spectaculaire, ce qui rend le cadre extrêmement romantique au lever et au coucher du soleil. Le restaurant a également été élu comme l’un des restaurants les plus romantiques de la région. Prenez un bon repas et proposez dans cet environnement magnifique. Les jardins botaniques du désert Quel meilleur endroit à proposer que dans les jardins botaniques du désert. Avec un large éventail de belles plantes, de fleurs colorées et de beaux paysages, les jardins botaniques du désert sont un endroit merveilleux pour passer une soirée romantique. La beauté unique des jardins est un endroit idéal pour professer votre amour.
Cuisiner à Marrakech
Mes amis n’en croient pas leurs yeux : depuis peu, je me mets en effet à la cuisine. Et moi qui ai toujours refusé de préparer quelque chose de plus sophistiqué que des pâtes carbos, je me mets à faire mes propres pâtes et tartes ! Il y a quelques jours, j’ai même franchi une nouvelle étape : j’ai carrément suivi un cours de cuisine à Marrakech !
C’était une première, mais au final, j’ai beaucoup aimé : l’ambiance y était franchement accueillante. En outre, à ma grande surprise, j’ai suivi sans trop de difficulté (ce qui n’est pas gagné, lorsqu’on a de grosses lacunes techniques aux fourneaux !). J’ai eu de la chance. Jétais persuadé que j’allais côtoyer des personnes ayant une longue expérience culinaire, mais pour finir, les participants étaient d’horizons très variés. Quelques-uns étaient de véritables cordons bleus, et d’autres étaient presque comme moi : des Cotorep culinaires. Ce caractère disparate aurait pu être un sérieux problème, mais curieusement, c’est le contraire qui s’est passé : les plus experts n’hésitaient pas à assister les cancres et à leur indiquer comment faire à chaque étape. Je ne sais pas si ça se passe toujours comme ça, mais je suis convaincu que l’attitude du chef a pas mal contribué à cette confiance qui régnait dans le groupe : il faisait preuve d’enthousiasme à chaque instant et nous invitait à bosser ensemble. Certes, parfois j’avais le sentiment que nous étions des mômes que l’instit’ congratulait pour nos créations en bâtonnets d’esquimaux ; mais c’était assez agréable, à vrai dire !
Pour être parfaitement honnête, je ne crois pas que je vais reprendre à la maison les assiettes que j’ai apprises à cuisiner à l’occasion de ce cours : elles étaient plutôt difficiles à confectionner sans aide, et puis, je ne m’imagine pas cuisiner plus d’une heure par jour ! Mais j’ai quand même noté quelques techniques très efficaces qui font que je suis nettement moins désastreux qu’avant ce cours.
Bref, si vous êtes comme moi un Buster Keaton aux fourneaux et voudriez changer, je vous recommande l’aventure : les cours de cuisine sont vraiment idéaux pour acquérir les bons gestes ! Vous trouverez toutes les informations nécessaires sur ce site. En savoir plus en suivant le lien sur le site de l’organisateur de ce atelier de cuisine à Marrakech.
Renouveler le parc de commerces en Île-de-France en améliorant sa qualité et sa durabilité
En dépit de la stagnation de la consommation et du développement de la vente en ligne, le parc de commerces francilien a connu une forte progression au cours des dernières années, générant une concurrence exacerbée entre pôles commerciaux. Pourtant, la croissance démographique de certains territoires, la transformation de la distribution et l’évolution des concepts commerciaux (drive, commerces d’itinéraires, retailtainment) rendent nécessaires le renouvellement d’une partie du parc de commerces. Le commerce reste un gros consommateur de foncier en Île-de-France. Les densités du bâti commercial sont faibles : un commerce de 100 000 m² de surface de vente consomme en moyenne, en Île-de-France, 4,6 ha de terrain, occupé pour plus du quart par les parkings, très majoritairement déployés en surface. Une partie significative de la croissance du parc se fait encore sur des espaces non urbanisés, principalement en grande couronne, et particulièrement en Seine-et-Marne. À défaut d’une planification à une échelle adaptée, les décisions d’ouvertures, arbitrées au niveau départemental dans le cadre des commissions départementales d’aménagement (CDAC), sont prises trop souvent sans mesurer leur impact sur le tissu commercial existant. De plus, les emplois occupés dans ces nouveaux équipements résultent souvent de transferts d’emplois existants depuis d’autres espaces commerciaux. Enfin, le commerce est encore insuffisamment associé à d’autres fonctions urbaines, et fréquemment localisé dans des zones d’activités uniquement accessibles en voiture. Les voies d’amélioration sont, comme le préconise le Sdrif, la réalisation d’espaces commerciaux plus durables, localisés près des consommateurs, économes en foncier et mieux accessibles en transport en commun au sein d’opérations mixtes. Une planification plus concertée entre les territoires doit être mise en œuvre.
Le Président Trump défend Google
Le leader américain Donald Trump a critiqué mercredi le niveau occidental de la sélection de la concurrence à 5 milliards de yuans mercredi, exprimant que l’UE a expérimenté « une bonne chose sur les Etats-Unis » Il a écrit jeudi sur Youtube: « Je vous ai informé! un bien de 5 milliards de dollars sur l’une de nos merveilleuses entreprises, Google, qui ont vraiment profité des États-Unis, mais pas trop longtemps! Trump semblait utiliser le bien antitrust comme un outil dans le conflit de l’industrie en cours avec le Western Union. Mercredi, il est vulnérable « rétribution incroyable » contre l’UE, sauf quand le bloc croit aux grandes concessions de l’industrie. Il est corrélé avec la détermination du Commissaire à la concurrence de l’Ouest à de grands moteurs de recherche la plus grande sanction antitrust nivelé sur une seule entreprise, plus que son abus de la proéminente plate-forme cellulaire Google android. Margrethe Vestager déclaré moteurs de recherche expérimentés utilisé son logiciel mobile préféré pour sauvegarder sa position de recherche. La recherche a débuté en 2015, avant de faire la cour à la présidence de Trump de plus de 12 mois, et ce n’est pas tout de suite lié à l’achat et à la vente entre les États-Unis et l’Union européenne. Vestager a été interrogé sur Trump mercredi, étant donné le cadre d’anxiété croissante entre votre UE et les États-Unis. Un journaliste a cité Trump, qui a déclaré au président de Western Payment, Jean-Claude Juncker, lors de la réunion du G7 le mois dernier: « Votre femme fiscaliste déteste les Etats-Unis. » Vestager plaisantait à quel point le document était juste à moitié vrai. « Je travaille vraiment ensemble avec l’impôt sur le revenu et je suis une fille dans l’ordre qui est tout à fait approprié », a-t-elle déclaré, mais en plus: « Je ressemble à l’Amérique ». Trump intensifie sa rhétorique contre le syndicat, décrivant l’UE comme un «ennemi» de vos États-Unis. Trump a imposé des tarifs douaniers sur l’acier et l’aluminium importés de votre UE, et envisage également de les étendre pour impliquer les voitures. Le leader est le résultat d’entretiens avec le directeur général de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, avec la Résidence de couleur blanche après ces quelques jours, où il pourrait choisir de parler du bien de Yahoo une fois de plus.
5ème Conférence d’Oxford
Dans le cadre de mon travail, j’assiste à un congrès presque tous les mois. Et si j’apprécie ces déplacements (qui sont comme des bouffées d’air frais entre deux dossiers compliqués à gérer), j’ai aussi appris qu’il valait mieux ne pas y faire n’importe quoi.
Il y a peu, j’ai en effet suivi un congrès à Oxford. C’était là le premier congrès auquel participait une collègue nouvellement embauchée. Et cette personne a vite compris qu’elle avait commis un douloureux impair lors de ce séjour. Un impair en apparence banal : lors du repas, elle a simplement refusé de grimper sur sa chaise pour pousser la chansonnette. D’abord encouragée, elle s’est finalement faite huer par tout le monde. Cela aurait pu en rester là. Sauf que ce n’est pas ce qui est arrivé. Car en refusant de chanter, debout devant tout le monde, elle s’est attachée une étiquette de peigne-cul qui lui collera sans doute longtemps à la peau.
S’il y a bien un truc que l’expérience m’a appris, c’est qu’il ne faut jamais éviter de participer aux divertissements proposés lors des congrès. Il est important de participer aux jeux pour faire partie du groupe. Et ce, même lorsqu’on se sent un peu ridicule. C’est à ce prix qu’on peut s’intégrer dans l’équipe. Celui qui résiste ressort immédiatement négativement, et cela donne aux autres le sentiment que la personne se considère comme supérieure aux autres.
Et s’il faut s’amuser avec les autres, il faut aussi savoir rester raisonnable, et notamment toujours faire attention à sa consommation d’alcool. Je me souviens d’un collègue qui, lors d’un congrès, a abusé de l’openbar, au point qu’il a fallu le porter jusqu’à son lit. Eh bien, le souvenir de cette soirée l’a poursuivi longtemps. En dépit du travail remarquable qu’il fournissait, il est resté aux yeux de tous après cette soirée le mec qui s’est endormi, la tête sur l’épaule de son PDG !
De manière générale, ce qu’il faut bien comprendre, c’est que dans un séminaire, l’ambiance est semblable à celle d’un petit village : il y a toujours un idiot du village sur lequel les gens aiment casser du sucre sur le dos. Il faut juste s’assurer de ne pas endosser ce rôle par un comportement trop coincé ou trop relâché !
Ceci étant posé, quand on est conscient de ces codes, il est possible de profiter pleinement du voyage. J’ai d’ailleurs bien apprécié ce congrès, en dépit des vocalises que j’ai dû y faire, debout sur ma chaise ! En savoir plus en suivant le lien sur le site du spécialiste reconnu de l’organisation de séminaire en Angleterre.
Économie collaborative, économie du partage : quels enjeux pour demain ?
Les activités dites de « l’économie collaborative » ou « économie du partage » (sharing economy) se développent à grande vitesse, avec un chiffre d’affaires mondial qui pourrait passer de 15 milliards de dollars en 2013 à 235 milliards à l’horizon 2025. En 2014, 70 % des internautes français, soit environ 31 millions de personnes, ont déjà acheté ou vendu sur des sites de mise en relation de particuliers, 19 % ont déjà utilisé un site de réservation d’hébergement et 14 % un site de covoiturage. Près de 5 millions de voyageurs ont séjourné dans un logement loué sur Airbnb en France depuis la création du site, dont la moitié depuis le début de l’année 2015. L’application de covoiturage Blablacar compte 8 millions de membres en France et 20 millions d’utilisateurs dans le monde. Avant sa suspension, le service UberPop comptait 10 000 conducteurs inscrits (dont 4 000 actifs la semaine précédente), et 500 000 utilisateurs réguliers. Selon une enquête du Crédoc, 15 % de la population déclare avoir recours à des particuliers pour l’usage d’un service ou d’un bien contre rémunération sur internet et 8 % déclare proposer ses biens ou services à des particuliers. 5 % de la population réalise ces activités sans rémunération. De manière générale, l’économie du partage est davantage utilisée par les moins de 40 ans, les diplômés du supérieur, les cadres ou professions intermédiaires, notamment à Paris ou dans son agglomération. Ainsi, 5,2 % de la population française tire plus de 50 % de son revenu de la consommation collaborative, mais cette proportion atteint 12 % parmi les jeunes (25-34 ans). À ce jour, les structures relevant directement de la consommation collaborative en France représentent environ 3 000 emplois (l’estimation majorée est de 6 000 emplois), dont 1 000 emplois à temps plein. Les deux tiers des structures sont situées en Île-de-France. Ces activités suscitent néanmoins de vifs débats, sur leurs effets économiques, environnementaux et surtout sociaux. Construites autour de l’échange, du partage ou de la vente entre particuliers de biens, de capitaux, de services, voire de symboles, elles recouvrent des réalités très diverses.
Du bon usage de la motivation
Tandis que les employeurs éprouvent fréquemment à inculquer de la motivation et de la cohésion à leurs salariés, l’incentive se révèle être un bon antidote. Pour commencer, quelle définition peut-on donner à l’incentive ? L’incentive, c’est l’art de inciter à se dépasser ses équipes. Il s’emploie à de réunir les participants, de les propulser pour qu’elles tiennent les objectifs. Et de faire en sorte que les salariés n’aient pas envie de quitter leur entreprise. Qu’il prenne l’apparence d’un challenge commercial et/ou d’une virée exotique, l’incentive représente une opportunité enrichissante tant pour les salariés et le directeur. Le challenge commercial reste cependant une issue excellente à sonder pour juguler le ralentissement du marché en crise, et spécialement pour obtenir des parts de marché chez les concurrents.
Un incentive productif ne se réduit pourtant pas une simple activité : il doit concourir à l’apparition d’un esprit d’équipe et disposer chacun de adhérer, spécialement au travers d’ animations créatives et collaboratives. Il semble toujours vital que les salariés apprennent rapidement à se connaître. En effet, la élasticité croissante de l’activité professionnelle fait que les employés sont en constant révolution. donc il s’avère indispensable d’intensifier la création de liens et d’objectifs communs entre les personnes. En outre, qu’avec l’implantation des médias internet, les individus ne se rencontrent plus et en toute logique se connaissent moins. Un incentive offre l’occasion d’améliorer la manière d’interagir entre eux dans le cadre de leur exercice. Mot générique en provenance de Grande Bretagne, l’incentive désigne une action invitant des individus ou à des équipes de se stimuler, souvent en délivrant une dotation en échange d’un objectif de bons et loyaux services. Il contient les notions françaises de motivation et de stimulation. L’incentive est de ce fait planifié par les entreprises pour accroître la motivation de ses collaborateurs, pouratteindre des objectifs. « Un séminaire ou un expédition incentive représente certes une somme, toutefois il peut s’avérer très productif en ce qui concerne la cohésion productive, d’atmosphère entre les salariés et même de calme sociale”, analyse Sylvain Michaud, directeur de ActiGlobal . Il faut distinguer plusieurs types d’incentive. L’un des plus populaires pour les entreprises est bien sûr le challenge commercial. L’objectif de cet évènement est l’extension de la marge ou du chiffre. Cependant c’est un exercice ardu, où il est nécessaire de prêter attention à ajuster les cadeaux en fonction du l’équipe à laquelle on a affaire. En effet, les salariés qui perdent peuvent se sentir encore plus marginalisés. Le danger est de anéantir la dynamique de groupe qui affermit une équipe en soutenant l’apparition d’une « fine fleur » et de neutraliser la motivation de certains des salariés. Une contre-performance, en somme ! Un second forme d’incentive est le voyage, dont le but est d’encourager la cohésion du groupe en le installant dans un milieu inconnu. L’atout qu’il y a à sélectionner une destination étrangère et ensoleillée tient également dans l’aspect distinction de l’évènement. Lorsqu’il fait 13 ° en cette saison, rien de plus séduisant que de prendre le soleil à Porquerolles où il fait . 30 °. Le cadre ostentatoire ou rare de la destination est frappant.
Les actions présentées sur place, de préférence collaboratives, incitent par conséquent aux salariés de mieux se connaître et de former des liens qui n’auraient pu naître au sein de l’entreprise.
A charge ensuite d’alimenter tout au long de l’année la flamme attisée par l’incentive en faisant évoluer ses méthodes. En effet, si un événement incentive créatif peut optimiser le bon fonctionnement de l’entreprise, une mutation pérenne des relations de travail ne se produira que s’il est encouragé par un management qui ouvre sur la création des espaces, des moments de créativité de la part des salariés. En conclusion, un incentive, qu’il prenne la tournure d’une activité créative ou d’un challenge commercial, ne sera effectivement efficace que s’il est dans le prolongement d’une vision plus large qui favorise la créativité des employés.
Conférence GameTech de Barcelone
Dans l’univers du jeu vidéo, j’entends souvent des joueurs se plaindre que les constructeurs de console et les éditeurs de jeux les prennent pour des pigeons. Et cela m’agace profondément, la plupart du temps. Mais je dois dire qu’en ce qui concerne la Switch, je suis plutôt d’accord avec eux : j’avais rarement vu une telle arrogance de la part d’un géant du secteur ! Bien sûr, tout le monde ne partage pas ma position. Récemment, j’ai pu découvrir Barcelone dans le cadre d’un voyage de groupe, et comme notre groupe comptait un gamer comme moi, nous en avons beaucoup parlé. C’était un supporter de longue date de Big N, et il était donc vraiment attiré par la Switch. Mais ce n’est absolument pas mon cas, et je demeure particulièrement sombre quant au succès de cette console. De mon point de vue, le plombier a fait de nombreuses erreurs. Le line-up de la console est quand même du jamais vu dans l’histoire du jeu vidéo : aucun constructeur n’avait jamais osé proposer une console avec aussi peu de jeux ! Alors que c’est tout de même là le nerf de la guerre ! Par exemple, j’ai acheté la première Xbox pour jouer à Dead rising, et la Gamecube pour jouer à Pikmin. Mais je ne vais certainement pas acheter une Switch à 400 euros (la console à 300 euros sera vendue nue et sans accessoires) pour jouer à Zelda, qui plus est un Zelda horriblement aliasé et qui semble particulièrement vide (les open worlds requièrent visiblement un savoir-faire que ne semble pas posséder Nintendo). Bien sûr, le concept initial de cette console est plutôt séduisant : l’idée de proposer un tout-en-un vidéoludique est vraiment ingénieuse. Sur le papier, du moins. Parce que le résultat est bien en deçà de mes attentes. Avec les pertes d’argent provoquées par la Wii U, Big N est déjà dans une situation délicate. Si le Switch est un échec, ce sera une vraie catastrophe pour Nintendo, qui aura bien du mal à remonter la pente. Mais au vu de sa console, c’est exactement ce qui va arriver. Il faut vraiment espérer que la firme ait gardé quelques surprises en réserve qui feront toute la différence. Mais elles ont intérêt à être de taille ! Soit dit en passant, ce voyage de groupe à Barcelone s’est avéré être une excellente surprise. La destination est d’ailleurs entrée dans mon top 10. Voilà le site où nous avons trouvé ce voyage, si vous souhaitez jeter un coup d’oeil. Plus d’information sur l’agence organisatrice du voyage à Barcelone en allant sur le site web de l’organisateur.
La R&D en France
La situation des «jeunes pousses» s’améliore mais il leur est encore difficile de développer leur activités en France à une plus grande échelle. Plusieurs initiatives privées et publiques ont été prises pour dynamiser le tissu des jeunes entreprises. Elles englobent l’initiative French Tech et la création de la plus grande plateforme de jeunes entreprises en Europe, Station F. Si la part des nouvelles entreprises dans les secteurs à forte intensité de connaissances est en hausse, le capitalrisque demeure encore insuffisant pour permettre aux entreprises à croissance rapide de se développer et de rester en France. En proportion du PIB, le montant du capital-risque reçu par les entreprises françaises place la France en quatrième position dans l’Union européenne devant l’Allemagne et le Royaume-Uni (Commission européenne, 2018). Le financement public (principalement par l’intermédiaire de la Banque publique d’investissement – BPI France) joue un grand rôle sur le marché français, d’autant qu’il n’existe que peu de fonds dotés d’une capacité suffisante pour investir dans les projets de grande envergure. Enfin, et en complément des réformes fiscales, des incitations fiscales efficaces sont maintenues dans la loi de finances 2018, telles que le dispositif «Jeunes entreprises innovantes» et la réduction d’impôt, prévue par la loi Madelin, sur les investissements effectués dans les PME. Les politiques de R&D sont en cours d’évaluation. Une Commission nationale d’évaluation des politiques d’innovation (CNEPI) a été créée en 2014 pour passer en revue le système d’innovation français. Il convient néanmoins de mieux préciser la manière dont les travaux de cette commission seront exploités pour améliorer les politiques futures. En particulier, l’examen complet du système d’innovation français réalisé en 2016 n’a pas encore entraîné de changements notables. Concernant la politique de recherche, une Agence d’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur a été instituée en 2006 avant de devenir, en 2013, le Haut Conseil de l’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur. Pour autant, les organismes de recherche ne sont pas tenus de donner suite aux résultats de ses évaluations selon lesquels il y a sans doute place pour une amélioration du système d’évaluation de la recherche publique (OCDE, 2014).
Une union anti-FN
Deux listes de « rassemblement », dont l’une parrainée par Pierre Bédier, pourraient s’opposer aux prochaines municipales de 2020. La campagne pour les élections municipales de 2020 a déjà débuté à Mantes-la-Ville. En quelques jours, elle s’est même brusquement tendue dans cette commune, seule en Ile-de-France dirigée par le FN. Lundi soir, Pierre Bédier, président (LR) du conseil départemental, et Michel Vialay, député de la circonscription, ont rencontré Eric Visintainer, conseiller municipal (LR) de Mantes-la-Ville. Les deux hommes, motivés par une même haine du parti lepéniste et une volonté de peser localement, ont demandé à l’élu de Mantes-la-Ville de rejoindre une liste de rassemblement qu’ils parrainent et qui compterait Philippe Pascal, le suppléant de Michel Vialay aux dernières législatives. Problème : Eric Visintainer travaille lui aussi à la création d’une liste d’union comprenant des personnalités comme Annette Peulvast-Bergeal (SE) et d’autres figures locales. S’estimant légitime, Eric Visintainer a donc refusé la proposition, tenant tête au puissant président du conseil départemental. Sollicité, il confirme aujourd’hui l’information mais refuse d’en dire plus. Derrière le cas de ce conseiller municipal investi et plutôt apprécié par la population se cache un enjeu national. Pointés du doigt par la France entière pour leurs divisions et leurs responsabilités dans l’arrivée du FN au pouvoir en 2014, les élus de tous bords avaient promis de ne pas répéter les mêmes erreurs en 2020. Le scénario qui semble se dessiner pourrait contrarier cette stratégie. « Personne n’a retenu les leçons du passé cela me désole, s’énerve Julie Ferry, l’ex-responsable du PS local. Pierre Bédier va droit dans le mur en soutenant des gens qui n’ont aucune chance de l’emporter. Pour 2020, il faut le rassemblement le plus large possible, c’est ce sur quoi nous travaillons avec Eric et d’autres. »