La Guerre Est-elle Moralement Acceptable ?

La guerre, ce phénomène ancien et omniprésent, a toujours été un sujet de débats intenses et de réflexions profondes. Pour certains, elle est perçue comme un mal nécessaire, une méthode ultime pour résoudre les conflits irréconciliables. Pour d’autres, elle est une barbarie évitable, une trahison de l’humanité. Pour comprendre si la guerre est moralement acceptable, il est crucial de considérer les différentes perspectives historiques, philosophiques et politiques qui entourent ce concept complexe.

Historiquement, la guerre a souvent été justifiée par des motifs de survie et de protection. Dans l’Antiquité, les sociétés se faisaient souvent la guerre pour défendre leurs territoires et leurs ressources vitales. Les peuples anciens voyaient la guerre comme un moyen d’assurer leur existence face à des menaces extérieures. Par exemple, la Guerre de Troie, bien que mythologique, symbolise cette lutte pour la survie et l’honneur. De même, les guerres médiévales en Europe étaient souvent motivées par des querelles territoriales et des luttes pour le pouvoir. Dans ce contexte, la guerre était perçue comme une nécessité pour garantir la sécurité et la pérennité d’une communauté ou d’une nation.

La guerre a également été perçue comme un outil de changement et de progrès. L’histoire montre que de nombreux changements sociaux, politiques et technologiques ont été accélérés par les conflits armés. La Première et la Seconde Guerre mondiale, bien que dévastatrices, ont conduit à des avancées significatives dans la médecine, la technologie et les droits des femmes. Le chaos de la guerre a souvent forcé les sociétés à réévaluer leurs priorités et à innover pour surmonter les défis posés par le conflit. Ainsi, malgré ses horreurs, la guerre a parfois servi de catalyseur pour des réformes profondes et nécessaires.

Sur le plan philosophique, certains penseurs ont défendu la guerre comme une expression inévitable de la nature humaine. Thomas Hobbes, dans son ouvrage « Le Léviathan », décrit l’état de nature comme une « guerre de tous contre tous », suggérant que la violence est inhérente à la condition humaine. Selon cette perspective, la guerre est une manifestation de nos instincts primitifs et de notre lutte pour le pouvoir et la survie. En ce sens, la guerre n’est pas seulement nécessaire, mais inévitable tant que les êtres humains restent des créatures conflictuelles. Cependant, cette vision fataliste pose des questions éthiques profondes sur la moralité de la guerre.

Jean-Jacques Rousseau, en revanche, croyait que les êtres humains étaient fondamentalement bons et que c’était la société qui les corrompait et les poussait à la guerre. Selon Rousseau, la guerre n’est pas une nécessité naturelle, mais plutôt un produit des inégalités sociales et des ambitions politiques. Cette perspective invite à reconsidérer les motivations derrière les conflits armés et à chercher des solutions pour éviter l’escalade vers la violence. Pour Rousseau et d’autres pacifistes, la guerre est moralement inacceptable car elle résulte d’une corruption de la nature humaine et des structures sociales injustes.

Politiquement, la guerre est souvent justifiée par des raisons de sécurité nationale et de défense des intérêts stratégiques. Les nations entrent en guerre pour protéger leurs frontières, défendre leurs alliés ou prévenir des menaces perçues. Par exemple, la guerre contre le terrorisme menée par les États-Unis après les attentats du 11 septembre 2001 a été justifiée par la nécessité de protéger la sécurité nationale et d’éradiquer les groupes terroristes. Dans ce contexte, la guerre est vue comme un moyen nécessaire pour maintenir la paix et la sécurité à long terme. Cependant, cette justification est souvent remise en question lorsque les coûts humains et matériels du conflit sont évalués.

Néanmoins, la guerre entraîne des conséquences dévastatrices. Les pertes humaines, la destruction des infrastructures, les déplacements de populations et les traumatismes psychologiques sont des réalités indéniables des conflits armés. La guerre laisse souvent des cicatrices profondes et durables dans les sociétés affectées. Les exemples contemporains des conflits en Syrie, au Yémen et en Afghanistan montrent les souffrances humaines et les crises humanitaires que la guerre peut provoquer. Ces conséquences soulèvent des questions morales importantes sur la légitimité de la guerre.

En outre, avec l’avènement des armes de destruction massive et la menace constante de la guerre nucléaire, le coût potentiel des conflits modernes est inimaginable. La possibilité de destructions à grande échelle et les conséquences environnementales catastrophiques ajoutent une nouvelle dimension aux débats sur la moralité de la guerre. La capacité de l’humanité à se détruire elle-même rend impératif de reconsidérer les justifications traditionnelles de la guerre.

La diplomatie et la coopération internationale sont souvent présentées comme des alternatives viables à la guerre. Les organisations internationales comme les Nations Unies et les traités de paix visent à résoudre les conflits par le dialogue et la négociation. Bien que ces efforts ne soient pas toujours couronnés de succès, ils représentent une tentative pour surmonter les instincts guerriers par des moyens pacifiques. La guerre, dans ce cadre, est vue comme un échec de la diplomatie et de la coopération internationale.

En conclusion, la question de savoir si la guerre est moralement acceptable est un sujet complexe et nuancé qui implique des considérations historiques, philosophiques et politiques. Si la guerre a parfois été perçue comme un mal nécessaire pour la survie, la protection et le changement, les horreurs qu’elle engendre et les alternatives pacifiques disponibles remettent en question cette acceptabilité morale. Le défi pour l’humanité est de trouver des moyens de résoudre les conflits sans recourir à la violence, de manière à construire un avenir plus sûr et plus harmonieux. La guerre peut-elle vraiment être moralement acceptable dans un monde où les options pacifiques existent ? C’est une question qui mérite une réflexion continue et approfondie.

La résistance des différences hommes et femmes

Sur le plan idéologique, cependant, il ne semble pas que la communauté ait gardé de la vitesse en ce qui concerne les prévisions de revenus selon le sexe. En théorie, cela n’a pas d’importance, mais environ plusieurs répondants matures sur 10 à un questionnaire du Pew Research Center 2017 ont déclaré qu’il était absolument «très important» qu’un homme ait la capacité d’aider une famille économiquement afin d’être un excellent conjoint ou partenaire, seulement 32% ont déclaré la même chose au sujet des femmes. Les adultes plus pauvres, cependant, ont été beaucoup plus égalitaires, mettant l’accent sur la valeur des femmes et des hommes à offrir aux familles, et les répondants diplômés ont classé la capacité à offrir comme beaucoup moins essentielle que les personnes n’ayant qu’une formation secondaire (81% et 67 pour cent respectivement). Non seulement il semble que les anticipations conventionnelles selon lesquelles les hommes devraient faire beaucoup plus ont persisté, mais un récent enregistrement du US Census Bureau suggère que les partenaires pourraient trouver honteux que les femmes soient les soutiens de famille. Lorsque les femmes ont été les plus grandes sources de revenus, les maris et les conjoints ont sous-déclaré ses revenus et augmenté ses revenus. Au cours de ces partenariats où les conjoints ont gagné beaucoup plus, les hommes ont augmenté leurs revenus particuliers de près de 3% de plus que ce qu’ils ont déclaré sur leurs propres variétés d’impôt sur le revenu, et les conjoints ont documenté leur revenu plus élevé avec 1,5% de détails de moins que ce qu’ils ont noté, dit Marta Murray -Near, économiste au Census Bureau et co-auteur de la revue. Les réponses se fondent de façon plus fiable sur les faits lorsque les hommes gagnent plus que leurs compagnes. Des rapports antérieurs (et généralement notés de manière générale) ont établi un lien entre les soutiens de famille et les mauvaises conséquences conjugales. Les femmes qui gagnent plus que leurs partenaires masculins – seulement 5 000 $ de plus par an – augmentent la probabilité qu’elles se séparent, selon une étude de 2015 de l’université ou du collège de Chicago. Cela a fait écho avant une recherche suggérant que l’augmentation des revenus des femmes améliorait le risque de séparation. De plus, les scientifiques canadiens ont appris que les femmes qui génèrent plus que leurs maris rencontrent une «infiltration de statut», ce qui suggère que leur affiliation avec des individus de rang inférieur diminue également leur statut particulier. Les femmes qui se sentent comme si elles se situaient à un échelon supérieur à celui de leurs compagnes étaient plus susceptibles de se sentir mal à l’aise ou de ressentir la position inférieure du mari et plus susceptibles d’être insatisfaites de cela et de prendre en compte la séparation, ont publié les auteurs. Un exemple de la façon dont ces attentes affectent les actions des femmes provient du collège de la section médiane, ou de ce que l’on appelle dans quelques régions des États-Unis le collège. Le mathématicien Andrew Dittmer en tant que marginal a formé les mathématiques aux élèves de sixième et de septième années dans les écoles publiques de Cambridge. Il a observé un changement notable parce que les femmes ont atteint l’adolescence et ont commencé à sérieusement penser aux rencontres en ligne. Les jeunes femmes n’étaient pas gênées de bien faire en arithmétique. Mais cela a changé. Il était toujours correct de devenir bon en mathématiques, pour devenir considéré comme habituellement sage et limité à l’université. Mais les femmes qui avaient bien réussi en mathématiques et démontré leur aptitude se sont retirées de l’opération. Les femmes qui persistaient étaient souvent harcelées par des femmes comme des nerds, même si elles étaient personnellement accrocheuses. Plus précisément, la vente est un type de domination et la plupart des gens réduisent leur patience pour les femmes qui montrent des actions agressives. C’était frappant car je travaillais bien dans et avec de nombreuses sociétés de services d’experts à quel point quelques «styles» individuels étaient bien tolérés chez les femmes plus âgées. Et moi aussi, l’incertitude était principalement due à la clientèle, car j’ai vu des femmes chez McKinsey qui étaient considérées comme ayant un problème de «style» et qui ont été envoyées à Roger Ailes pour le mentorat qui restait dans l’entreprise et qui a connu un grand succès avec gestion des seniors.

Luxe et diversité dans les hôtels

Les hôtels de luxe symbolisent depuis longtemps l’exclusivité et l’hospitalité raffinée, offrant non seulement un lieu de séjour, mais aussi la possibilité de vivre des expériences mémorables. Cet essai se penche sur l’assortiment d’hôtels de luxe dans le monde entier, révélant comment chaque établissement offre des moyens particuliers de rendre les vacances vraiment remarquables, que ce soit par l’emplacement, l’architecture, le contexte ou les services personnalisés qu’ils proposent.

L’un des attributs les plus importants qui distinguent les hôtels haut de gamme est leur emplacement. Qu’il s’agisse des rivages immaculés des Maldives ou des rues animées de New York, les hôtels haut de gamme sont conçus pour tirer parti de leur environnement. Regis Maldives Vommuli Holiday resort proposent non seulement des bungalows sur l’eau avec des sols clairs, mais aussi des piscines individuelles et un accès immédiat à l’océan, ce qui permet aux amis de profiter de la sérénité de la mer dans la solitude la plus totale. En revanche, les hôtels de luxe métropolitains tels que le Ritz-Carlton, Tokyo, sont situés dans d’imposants gratte-ciel offrant une vue panoramique sur la ville, et proposent un autre type de luxe, notamment des services de spa avec vue sur le paysage urbain et une cuisine raffinée qui reflète la substance de l’environnement urbain.

Les hôtels de luxe reflètent généralement une signification ethnique ou une innovation architecturale. L’Emirates Palace d’Abu Dhabi, par exemple, témoigne de la culture arabe, avec sa remarquable architecture islamique traditionnelle, tandis que l’Hôtel de Glace de Québec, entièrement fait de glace, offre un savoir-faire unique dans une structure annuelle éphémère qui est reconstruite chaque hiver. Plus que des hôtels somptueux, ces hôtels offrent un morceau d’art culturel et d’histoire. Des établissements historiques comme l’hôtel Raffles à Singapour, qui a ouvert ses portes en 1887, permettent aux clients de remonter le temps et de découvrir un riche passé colonial, préservé et présenté avec le luxe d’aujourd’hui.

Les centres de villégiature de luxe sont réputés pour leurs services personnalisés et l’attention qu’ils portent aux détails. De nombreux établissements s’attachent aujourd’hui à créer des expériences sur mesure pour leurs clients. Par exemple, les lodges de safari en Afrique, comme le Singita Serengeti Residence en Tanzanie, proposent non seulement des séjours luxueux, mais aussi des excursions privées, des repas de qualité préparés par des chefs individuels et des visites guidées de la faune et de la flore. Ces hôtels se concentrent sur l’esprit d’aventure tout en maintenant des normes de commodité élevées, fusionnant le frisson de l’aventure avec le chouchoutage du luxe.

En réponse aux préoccupations environnementales croissantes, de nombreux hôtels de luxe adoptent le développement durable sans compromettre leurs spécifications de confort et d’aisance. Des établissements comme le Soneva Fushi, aux Maldives, ont été les pionniers de l’écoluxe, en utilisant des matériaux durables pour la construction et en fonctionnant à l’énergie solaire hors réseau. Ces hôtels proposent des options d’alimentation biologique, des environnements sans plastique et des actions de conservation, ce qui permet aux amis de profiter du luxe de manière responsable.

Les progrès de la technologie moderne ont également fait leur apparition dans les complexes hôteliers de luxe. Les hôtels de haute technologie tels que le Peninsula Tokyo disposent de systèmes d’automatisation qui permettent aux visiteurs de gérer l’éclairage, la température et les systèmes de divertissement à l’aide de tablettes fournies dans chaque chambre. Cette intégration de la technologie améliore l’expérience des clients en leur offrant la facilité et la modification au bout des doigts.

L’accent mis sur le bien-être est une autre caractéristique des hôtels de luxe modernes, beaucoup d’entre eux proposant des programmes complets de spa, de remise en forme et de bien-être. Des hôtels comme The Waldorf Astoria Maldives Ithaafushi proposent des retraites bien-être sur mesure comprenant des cours de yoga, des soins de spa et des plats équilibrés sur le plan nutritionnel, conçus pour revitaliser le corps et l’esprit.

Enfin, les hôtels de luxe sont souvent des destinations d’excellence culinaire. Ces établissements abritent souvent des restaurants étoilés au guide Michelin, qui proposent des plats élaborés par des chefs de renommée mondiale. Par exemple, le 4 Seasons Resort George V à Paris abrite de nombreux restaurants étoilés, dont Le Cinq, qui propose une superbe expérience culinaire s’inspirant des traditions culinaires françaises, les hotels palais du Rajasthan ainsi qu’une cave à vin de classe mondiale.

La diversité des hôtels de luxe dans le monde offre une pléthore de choix aux voyageurs à la recherche d’expériences exceptionnelles. Que ce soit par leur emplacement spectaculaire, leurs récits historiques abondants, leurs solutions personnalisées, leurs méthodes durables, leurs améliorations technologiques, leurs centres de bien-être ou leurs choix culinaires étonnants, les hôtels de luxe demeurent la quintessence de l’opulence du voyage, promettant des vacances remarquables personnalisées en fonction des besoins de leurs clients exigeants. Chaque établissement constitue un portail unique vers les luxes du monde, conçu dans le but de surpasser les attentes de ceux qui recherchent les meilleures expériences de voyage.

La contribution des Mirage à l’aviation

La série d’avions de combat Mirage, développée par Dassault Aviation, représente l’une des contributions les plus légendaires et les plus significatives en termes d’évolution à l’aviation militaire de l’après-Seconde Guerre mondiale. Cet essai retrace l’évolution de la famille Mirage, en mettant l’accent sur ses origines, ses versions clés, tour en avion de chasse ses percées technologiques et son héritage durable en termes de performances militaires et d’ingénierie aérospatiale.

La série des Mirage a débuté dans les années 1950, une période marquée par des progrès rapides dans la technologie des avions à réaction ainsi que par le début de la guerre froide, qui a poussé les nations à trouver des caractéristiques de combat dans l’atmosphère supérieures. La France, désireuse de réaffirmer sa souveraineté technologique et l’indépendance de son armée après la Seconde Guerre mondiale, s’est lancée dans la création d’une nouvelle ère de chasseurs à réaction. Dassault Aviation, réputé pour ses avions de guerre, relève ce défi et donne naissance au Mirage I.

Le tout premier de la collection, le Mirage I, est un avion léger à aile delta conçu pour la vitesse et l’agilité. Bien qu’il ne s’agisse que d’un prototype, sa conception révolutionnaire a jeté les bases des modèles suivants. L’aile delta, caractérisée par sa forme triangulaire, est devenue la marque de fabrique des membres de la famille Mirage, offrant des avantages en termes de vitesse, de portance et d’efficacité aérodynamique.

La véritable découverte a eu lieu avec le Mirage III, présenté à la fin des années 1950. C’est le premier avion de combat d’Europe occidentale à atteindre Mach 2, soit deux fois la vitesse de l’audio. Le Mirage III présentait un bon équilibre entre vitesse, rapidité et puissance de feu, ce qui en faisait un formidable intercepteur et un chasseur multifonctionnel. Il était équipé d’une avionique sophistiquée pour l’époque, notamment d’un radar et de moteurs à postcombustion, ce qui améliorait considérablement ses caractéristiques de combat. Le Mirage III a été largement utilisé par de nombreuses forces aériennes dans le monde entier, démontrant sa capacité à s’adapter à de nombreuses situations de combat, de la supériorité aérienne aux missions d’assaut au sol.

Le succès du Mirage III a donné naissance à une pléthore de variantes, chacune conçue pour des tâches spécifiques ou pour améliorer les performances et les technologies. Le Mirage 5, par exemple, a été optimisé pour l’attaque au sol, compromettant l’équipement radar pour améliorer la capacité en carburant et en munitions. Le Mirage F1 s’éloigne de l’aile delta et adopte une aile en flèche conventionnelle pour améliorer la maniabilité et la flexibilité à basse vitesse. Le F1 a consolidé la réputation de Dassault en combinant une excellente variété, une capacité de charge utile et une flexibilité opérationnelle, et a servi dans diverses forces aériennes à travers le monde.

Le Mirage 2000, sorti dans les années 1980, a marqué l’aboutissement de l’expérience pratique de Dassault et de ses progrès en matière de conception d’avions de combat. Il était doté d’une aile delta plus avancée avec des extensions du bord d’attaque pour améliorer la maniabilité et le contrôle à basse vitesse, d’un système de gestion des commandes de vol électriques pour améliorer l’équilibre et la réactivité, et d’une avionique moderne, telle que des radars multimodes et des contre-mesures électroniques. Le Mirage 2000 a été conçu pour devenir une plate-forme très polyvalente, capable d’accomplir une variété de missions, allant de la supériorité aérienne et de l’interception à l’attaque au sol et à la reconnaissance.

Sans porter le titre de Mirage, le Rafale de Dassault peut être considéré comme l’apogée de la lignée évolutive de la famille Mirage. Intégrant les enseignements tirés des années de développement du Mirage, le Rafale symbolise la nouvelle ère des avions de combat multirôles, combinant vitesse, furtivité et avionique avancée dans une plateforme individuelle. Il incarne l’aboutissement de la philosophie de conception et de style de Dassault, qui met l’accent sur la polyvalence, la flexibilité fonctionnelle et l’innovation technologique.

L’héritage de la série des Mirage est multiple, soulignant son influence sur l’aviation militaire, les relations internationales et l’ingénierie aérospatiale. Sur le plan militaire, le Mirage s’est imposé comme une plate-forme de combat fiable et efficace, qui a fait ses preuves dans plusieurs conflits à travers le monde. Son adoption par de nombreuses nations souligne sa valeur stratégique et son adaptabilité aux différentes doctrines et environnements opérationnels.

Sur le plan technique, la série des Mirage illustre l’innovation aérospatiale, depuis l’utilisation pionnière des ailes delta et des moteurs à postcombustion jusqu’à l’intégration de systèmes avancés d’avionique et de commandes de vol électriques. Chaque variante a introduit de nouvelles capacités et améliorations, repoussant les limites de ce qui était réalisable dans la conception d’un chasseur à réaction.

Enfin, l’évolution de la famille Mirage reflète des thèmes plus larges dans le développement aérospatial après la bataille, notamment le passage de cadres de protection simplement nationaux à des stratégies de sauvegarde multinationales plus intégrées, ainsi que le besoin croissant de segments de marché à l’exportation dans l’industrie de la défense. Le succès du Mirage sur la scène mondiale a contribué à asseoir la réputation de Dassault Aviation en tant que fabricant aérospatial de premier plan et a favorisé les avancées technologiques et tactiques qui déterminent le combat aérien moderne.

La famille Mirage de Dassault Aviation est la preuve de la recherche constante de la supériorité dans l’aviation militaire. Depuis ses débuts en tant qu’intercepteur léger jusqu’à son évolution en une plateforme flexible et multirôle, la série des Mirage a joué un rôle crucial dans l’élaboration des stratégies modernes de défense et de protection aériennes. Son héritage, perçu comme une conception et un style innovants, une progression technologique et une flexibilité opérationnelle, influence constamment la croissance des futures générations d’avions de combat.

Une philosophie pour nos vie compliquées

Avec des modes de vie occupés, des distractions numériques et une (heureusement) mise en lumière croissante de la santé psychologique, l’anxiété peut sembler être une nouvelle tendance. Mais les humains s’inquiètent depuis des milliers d’années. En fin de compte, l’anxiété est vraiment une réponse naturelle aux risques reconnus ou réels, fournissant des hormones d’anxiété afin que tout votre corps puisse combattre ou fuir. La question est de savoir comment faire face lorsque vos inquiétudes ne disparaîtront pas et que vos pensées concoctent et traitent en permanence des menaces ? Bien qu’il n’y ait pas de solution rapide ou de potion pour éradiquer l’anxiété (puisqu’il s’agit d’une partie naturelle du monde et de la biologie), l’approche grecque traditionnelle du stoïcisme pourrait bien conserver la réponse pour obtenir une emprise sur les esprits modernes anxieux. Le stoïcisme a été éduqué pour la première fois sur les routes d’Athènes en 300 avant notre ère. Il a ensuite balayé la Rome historique, c’est pourquoi les philosophes stoïciens les plus célèbres étaient probablement romains – comme Sénèque, Épictète et l’empereur Marc Aurèle. Contrairement à d’autres concepts, le stoïcisme motive le mouvement plutôt que la discussion, avec seulement quelques enseignements primaires simples à adopter. Alors, qu’est-ce que des termes de sagesse vieux de 2000 ans peuvent nous apprendre à détendre nos esprits ? « Utilisez au mieux ce qui se trouve dans votre énergie et prenez le reste au fur et à mesure. » – Epictète Incroyablement, 40 pour cent des Australiens pensent que l’anxiété est un trait de caractère (par opposition à un problème de santé psychologique) et ne peut donc pas être prise en charge. La vérité est, bien qu’il soit vraiment possible de changer vos pensées et comportements nerveux. Pour vos stoïciens, cela commence par transformer ce que vous pouvez contrôler (comme vos valeurs) et laisser aller les choses que vous ne pouvez pas. « Les stoïciens nous ont appris que nos sentiments provenaient de nos croyances », explique Jules Evans, auteur de Approach for Life: and Other Hazardous Situations. « Nous ne pouvons pas contrôler ce qui nous arrive, mais nous pouvons contrôler nos croyances. » Zeno de Citium, le tout premier stoïcien, a déclaré que l’approche consiste à « vivre selon la nature ». Cela suppose que nous avons tous la capacité naturelle d’utiliser la cause et la connaissance pour « agir et croire correctement ». En fait, une performance morale et intègre peut être tout ce dont vous avez besoin pour être détendu et satisfait. « Nous pouvons utiliser la cause et la sagesse pour répondre avec sagesse et vertu à quelque chose que le mode de vie nous impose – même l’emprisonnement ou le tourment – et être toujours satisfaits », dit Evans. Il pointe vers le psychologue Viktor Frankl qui, réfléchissant à son séjour dans un camp de concentration nazi, a déclaré : « Tout peut être extrait d’un homme, sauf la dernière des libertés de l’être humain : la liberté de choisir notre réaction. Épictète, un serviteur devenu stoïque, a également appris que vous pouvez vaincre n’importe quelle adversité si vous vous concentrez sur ce que vous pouvez contrôler (vos pensées et vos valeurs) et abandonnez ce que vous ne pouvez pas. Fréquemment, nous étiquetons nos expériences comme « effrayantes » ou « désastreuses » et après cela, nous réagissons émotionnellement pour correspondre à cette croyance. Le stoïcisme affirme que vous avez le pouvoir de changer les croyances inutiles par des croyances plus saines. En d’autres termes, si vous changez vos idées, vous êtes capable de changer vos sentiments – et votre vision du monde. Vous vous connaissez ? C’est parce que la philosophie stoïcienne a influencé et influencé de nombreuses thérapies contemporaines, y compris la thérapie de conduite intellectuelle (TCC). En fait, les stoïciens ont été les pionniers de la psychothérapie moderne. Les pensées nerveuses peuvent trouver cela difficile à entendre, car elles aiment contrôler tout, mais en essayant d’influencer les autres et les circonstances, vous vous sentez esclave des conditions, les laissant dicter la façon dont vous croyez et ressentez pour vous et la planète qui vous entoure. Lorsque vous pouvez plutôt vous concentrer sur vos idées, vos valeurs et vos comportements, vous pouvez trouver un peu de paix en abandonnant toutes les choses différentes. Chaque TCC et stoïcisme vous aident à reconnaître les croyances fondamentales qui suscitent vos sentiments. Vous pouvez alors commencer à vous préoccuper de ces croyances. Par exemple, vous pourriez croire « Tout le monde devrait m’aimer ; sinon, je ne peux pas faire face », cependant, si vous approfondissez beaucoup plus profondément, vous pouvez bloquer cette idée : « Pourquoi tout le monde devrait-il m’aimer ? Ma réaction psychologique automatique est-elle abordable ou réelle ? Peut-on m’accepter personnellement, même quand les autres ne le font pas ?

4 parents sur 5 soutiennent l’enseignement de la diversité des genres et des sexualités

Les débats sur la manière dont les écoles reconnaissent la diversité des genres et de la sexualité se poursuivent en Australie. On prétend souvent que les parents s’opposent à l’inclusion de contenus relatifs à la diversité des genres et de la sexualité dans l’enseignement dispensé à leurs enfants. Or, notre étude montre que quatre parents sur cinq sont favorables à l’inclusion de ce type de contenu dans le programme d’études sur les relations et la santé sexuelle.

Le débat sur ces questions a été relancé par le projet de loi fédéral sur la discrimination religieuse et le projet de loi de la Nouvelle-Galles du Sud sur la modification de la législation relative à l’éducation (droits parentaux). Le projet de loi fédéral, aujourd’hui abandonné, aurait permis aux écoles religieuses d’expulser les élèves transgenres et de sexe différent. Le projet de loi de la Nouvelle-Galles du Sud vise à révoquer l’accréditation des éducateurs qui discutent de la diversité des genres et des sexualités dans une école publique.

Les deux projets de loi auraient le même effet : l’effacement de la diversité des genres et des sexualités dans les écoles.

Jusqu’à présent, aucune étude approfondie n’a été menée en Australie pour déterminer ce que les parents souhaitent réellement en ce qui concerne ces sujets dans le cadre de l’éducation de leurs enfants. Ce manque d’éléments fondés sur la recherche signifie que même les enseignants ne savent pas s’ils sont autorisés ou non à discuter de la diversité des genres et de la sexualité.

Notre étude de référence, publiée dans la revue Sex Education, fait la lumière sur cette question. Nos conclusions remettent en cause l’idée selon laquelle la plupart des parents s’opposent à l’inclusion de contenus liés à la diversité des genres et des sexualités à l’école.

Quels sont les résultats de l’étude ?

Nous avons interrogé 2 093 parents d’élèves fréquentant des écoles publiques dans tout le pays. Pour que les résultats puissent être considérés comme représentatifs au niveau national, les données ont été pondérées à l’aide d’un panel probabiliste d’adultes australiens. Les marqueurs démographiques (y compris le sexe, le lieu de résidence et les langues parlées à la maison) et les attitudes à l’égard d’une éducation qui intègre la diversité des genres et des sexualités ont été utilisés pour pondérer l’ensemble des données finales.

L’enquête a posé des questions fondamentales sur l’opinion des parents concernant le « qui, quoi, quand » de l’éducation aux relations et à la sexualité. L’accent a été mis en particulier sur l’opinion des parents quant à l’inclusion de la diversité des genres et des sexualités dans le programme d’études.

Les résultats montrent que 94 % des parents souhaitent que l’éducation aux relations et à la sexualité soit dispensée dans les écoles, conformément au programme scolaire australien actuel. Interrogés sur la diversité des genres et de la sexualité dans six domaines différents, 82 % des parents interrogés en moyenne sont favorables à leur inclusion dans le programme d’enseignement des relations et de la santé sexuelle, de la maternelle à la terminale.

En ce qui concerne la compréhension de la diversité des genres par les élèves à différents âges, deux tiers des parents (68 %) souhaitent que ce sujet soit introduit dans le programme à la fin de la quatrième étape de la scolarité (7e et 8e années). Comme dans d’autres domaines, plus de 80 % des parents sont favorables à l’inclusion de ce sujet à la fin de la 12e année.

Les raisons pour lesquelles les parents sont favorables à l’inclusion sont apparentes dans leur opinion sur l’objectif de l’éducation aux relations interpersonnelles et à la santé sexuelle. Le plus grand groupe de parents (près de 50 %), qui avait le choix entre quatre énoncés d’objectifs centraux, a estimé que ce domaine d’étude devrait se concentrer sur « l’autonomisation, le choix, le consentement et l’acceptation de la diversité » des élèves.

Il s’agit d’équité, d’inclusion et de sécurité

Ces résultats reflètent la culture d’équité et d’inclusion à laquelle croient la plupart des Australiens. Les résultats montrent que les parents comprennent l’importance de l’inclusion. Ils s’opposent au harcèlement scolaire des élèves issus de la diversité sexuelle et de genre dans ce pays.

Ces jeunes sont rarement représentés dans les programmes scolaires. Ils sont non seulement invisibles, mais subissent également une discrimination par omission.

Les parents savent sans doute que l’Australie a l’un des taux de suicide des jeunes les plus élevés au monde. Tragiquement, ce taux est encore plus élevé pour les jeunes issus de la diversité des genres et des sexualités. Leurs expériences à l’école sont sans aucun doute liées à ce résultat.

Dans notre étude, près de 90 % des parents souhaitaient que le programme scolaire aborde la question de la discrimination et des brimades à l’encontre des personnes issues de la diversité de genre et de sexualité. Cette constatation témoigne de leur volonté de créer des écoles sûres et accueillantes pour tous les élèves.

Qu’est-ce que cela signifie pour les enseignants ?

Cette étude a d’importantes implications pour les enseignants qui dispensent une éducation aux relations et à la santé sexuelle. Nombre d’entre eux déclarent éviter la diversité des genres et des sexualités et craindre les réactions négatives de la communauté.

Le malaise des enseignants prévaut malgré les directives du gouvernement fédéral qui promeuvent le bien-être des élèves. Ces lignes directrices encouragent les écoles à créer des environnements d’apprentissage positifs qui favorisent la diversité et les relations respectueuses et aident les élèves à se sentir en sécurité, connectés et inclus.

La réaction du public au projet de loi sur la discrimination religieuse et son abandon ultérieur mettent en évidence le fait qu’il est intrinsèquement anathème de punir et d’exclure les enfants et les jeunes de l’école sur la base de leur identité. Les enseignants australiens doivent être soutenus pour créer une culture scolaire dans laquelle ces élèves peuvent se sentir en sécurité, bienvenus et informés sur leurs relations et leur santé sexuelle.

Les éducateurs de tout le pays bénéficieraient de conseils et d’un soutien supplémentaires pour être sûrs que le fait d’aborder ces sujets est conforme à l’opinion de la majorité des parents de leurs élèves.

 

prendre soin de soi : l’importance de la relaxation

Dans le monde rapide d’aujourd’hui, où les exigences du travail, de la famille et des engagements personnels se disputent souvent votre temps et votre attention, le concept de détente peut sembler une extravagance réservée à une poignée de privilégiés. En réalité, prendre le temps de se détendre n’est pas seulement une extravagance, c’est aussi une nécessité absolue pour préserver notre équilibre physique, mental et émotionnel. Dans ce mode de vie moderne effréné, il est essentiel de trouver des moments pour se détendre, se rafraîchir et se ressourcer afin d’entretenir l’équilibre et l’harmonie dans notre vie.

Au cœur de l’importance de se détendre se trouve la nécessité d’atténuer le stress et la pression. Les pressions de la routine quotidienne, qu’il s’agisse de respecter les délais au travail, de jongler avec de multiples tâches à la maison ou de relever des défis individuels, ont un coût pour notre santé mentale et émotionnelle. La tension chronique a été associée à toute une série de problèmes de santé, notamment l’hypertension, l’affaiblissement du mécanisme immunitaire et l’augmentation du risque d’anxiété et de dépression. En prenant le temps de nous détendre, nous donnons à notre corps et à nos pensées le répit dont ils ont besoin pour se remettre de la routine quotidienne et rétablir l’harmonie dans notre mode de vie.

En outre, la détente est l’occasion de prendre soin de soi et de faire preuve d’introspection. Dans l’agitation de la vie quotidienne, il est facile de perdre de vue nos propres exigences et priorités. Prendre le temps de se détendre nous permet de prendre du recul, de réfléchir à nos objectifs et à nos valeurs, et de nous reconnecter avec nous-mêmes plus profondément. Qu’il s’agisse de méditer, de tenir un journal ou simplement de passer du temps dans la nature, la détente nous donne l’espace nécessaire pour nourrir notre moi intérieur et développer un sentiment de paix et de clarté.

En outre, la détente favorise la créativité et le développement. Lorsque notre esprit est constamment occupé par des tâches et des responsabilités, il y a peu de place pour l’émergence d’idées nouvelles. En prenant le temps de nous détendre et de nous relaxer, nous créons un espace où nos pensées peuvent se promener, explorer et relier des idées et des concepts disparates. Certaines des plus grandes avancées de l’histoire se sont produites au cours de moments de détente et de loisirs, lorsque l’esprit est libre de vagabonder et d’explorer de nouvelles possibilités. Qu’il s’agisse de s’adonner à des passe-temps, de se promener ou simplement de rêvasser, la détente peut stimuler la créativité et motiver de nouvelles méthodes de réflexion.

En outre, la détente renforce les relations et favorise les rapports avec les autres. Dans nos vies trépidantes, il est facile de se déconnecter des gens qui nous entourent, qu’il s’agisse d’amis, d’êtres chers ou de collègues de travail. Prendre le temps de se détendre ensemble, que ce soit en partageant des routines, en ayant des conversations enrichissantes ou simplement en passant du temps de qualité ensemble, nous permet d’approfondir nos liens et d’améliorer nos relations avec les autres. Ces moments de connexion n’apportent pas seulement de la joie et de la satisfaction dans notre vie, mais aussi une aide vitale et de la compagnie dans les moments difficiles.

En outre, la détente stimule la santé physique et le bien-être. La pratique d’activités de loisirs telles que l’exercice physique, le yoga ou le tai-chi permet non seulement de réduire le stress et les tensions, mais aussi d’améliorer la santé et la condition physique ainsi que l’état de santé général. Il a été démontré que l’exercice physique régulier réduit le risque de maladies persistantes telles que les maladies cardiaques, le diabète sucré et les problèmes de poids, tout en améliorant l’humeur et les fonctions cognitives. En intégrant dans notre vie des périodes normales de détente et de loisirs, nous pouvons promouvoir une bien meilleure santé et un plus grand bien-être pour nous-mêmes et nos proches.

L’importance de la détente ne doit pas être surestimée. Dans un monde qui valorise souvent l’efficacité et l’affairisme par-dessus tout, il est essentiel de prendre le temps de se détendre, Tematis de se ressourcer et de rajeunir pour maintenir l’équilibre dans notre vie. Qu’il s’agisse d’entreprendre des activités de loisirs, de passer du temps avec des membres de la famille ou simplement de prendre un moment pour s’arrêter et respirer, se détendre nous permet de prendre soin de notre bien-être physique, émotionnel et psychologique et de vivre une vie beaucoup plus épanouissante et pleine de sens. Ainsi, la prochaine fois que vous vous sentirez submergé par les exigences de la vie, n’oubliez pas de prendre du recul, de vous détendre et de donner la priorité à votre santé et à votre bonheur.

Parfums: les notes de tête, cœur, et fond expliquées

La création d’un parfum est sans aucun doute une quête enchanteresse, une danse des sens qui combine l’art, la recherche scientifique et les sentiments dans un flacon individuel. Ayant eu le privilège de créer un parfum, je peux attester de l’attrait du processus. Il s’agit vraiment d’une expérience pratique captivante qui relève autant de l’expression individuelle que du lancement d’un produit.

Le voyage commence par une compréhension. Dans mon cas, il s’agissait d’un désir de saisir la substance d’un jardin d’été en pleine floraison. Je voulais créer une eau de Cologne qui évoque la chaleur du soleil, parfum sur mesure le doux bruissement du feuillage et l’arôme enivrant des fleurs. C’est avec cette vision en tête que je me suis lancée dans la création d’une eau de Cologne.

Le processus commence par la sélection des composants, ou « notes ». Chaque parfum contient des notes de tête, de cœur et de fond qui, ensemble, forment l’odeur globale du parfum. Les meilleures notes sont celles que l’on sent dès l’application ; elles sont généralement lumineuses et vibrantes. Les notes de cœur, également appelées le cœur du parfum, constituent le corps principal du parfum. Les notes de fond sont les plus importantes et durent le plus longtemps.

Choisir les bonnes notes est à la fois un art et une science. Il faut savoir comment les différents ingrédients interagissent et comment leurs senteurs se développent avec le temps. Mais il faut aussi faire preuve d’intuition et de créativité. J’ai passé beaucoup de temps à expérimenter différentes combinaisons, bien guidée par mon nez et mon instinct. J’ai choisi la bergamote citronnée et la menthe poivrée fraîche pour les notes de tête, afin de capturer la luminosité d’un petit matin d’été. Pour le cœur, j’ai choisi des notes fleuries de rose et de jasmin, ainsi qu’un soupçon de thé vert pour ses vertus apaisantes. Et pour le fond, j’ai préféré l’ambre chaud et le musc pour communiquer la chaleur apaisante d’un après-midi d’été.

Créer un parfum, ce n’est pas seulement mélanger des composants, c’est aussi choisir l’équilibre parfait. L’excès ou l’insuffisance d’un ingrédient peut nuire à l’ensemble de la composition. J’ai dû être patiente, méticuleuse et prête à recommencer lorsqu’une fusion ne fonctionnait pas. Il y a eu des moments de déception, mais aussi des moments de joie pure à 100 % lorsqu’un mélange particulier capturait précisément ce que je cherchais à transmettre.

Une fois la formule mise au point, je suis passée au processus de vieillissement. C’est à ce moment-là que le parfum mûrit et que les différentes informations se fondent les unes dans les autres. Le processus de vieillissement peut durer plusieurs semaines, voire plusieurs mois, et c’est une période d’anticipation et d’excitation. C’est comme attendre qu’une fleur pousse ; vous savez que quelque chose de beau est en train de se former, mais vous ne pouvez pas l’apercevoir.

Finalement, après des jours d’attente, il était temps d’évaluer l’article final. Appliquer le parfum pour la première fois a été un moment de pure magie. Le parfum s’est déployé sur ma peau, dévoilant chaque note dans sa transformation. Il y a d’abord eu l’éclat lumineux de la bergamote et de la menthe poivrée, suivi du cœur floral de la rose, du jasmin et du thé vert. Puis, au fil de la journée, les notes de fond chaudes d’ambre et de musc sont apparues, ancrant le parfum et lui donnant de la profondeur. C’était tout ce que j’avais créé – l’essence d’un jardin d’été, capturée dans un flacon.

La création d’un parfum est en fait un voyage de découverte. Il s’agit de découvrir le monde des fragrances et de trouver comment les exploiter pour transmettre un certain sentiment ou un certain souvenir. Il faut de la patience, de la créativité et une profonde admiration pour les avantages de la nature. Mais il s’agit avant tout d’une expérience très personnelle. Le parfum que j’ai produit n’est pas seulement un parfum ; c’est le reflet de ce que je suis et de ce que j’aime.

L’ensemble du processus de création d’une eau de Cologne est extraordinaire. C’est un mélange unique de science et d’art, de précision et d’imagination. C’est un voyage qui met à l’épreuve et récompense à parts égales. Et à la fin de tout cela, vous vous retrouvez avec quelque chose de vraiment spécial : un parfum qui vous est propre, un parfum qui raconte une histoire. C’est une expérience que je recommande à tous ceux qui ont envie de parfums et qui souhaitent communiquer d’une manière nouvelle et passionnante.

Les enjeux nucléaires de la Corée du Nord

Le système nucléaire nord-coréen est un défi majeur en matière d’apprentissage et de police d’assurance depuis plus de 30 ans. L’ancien adjoint à la sauvegarde, Bill Perry, a décrit la situation comme «peut-être l’un des exercices de diplomatie les plus infructueux de notre pays». Donald Gregg, qui était la clé de la station de la CIA à Séoul en plus de l’ambassadeur américain en Corée du Sud, a nommé pour la Corée du Nord «la plus longue défaillance opérationnelle de la capacité d’apprentissage dans le passé de l’espionnage américain». Pour être honnête, Gregg parlait exclusivement de pas assez d’accomplissements dans le recrutement d’options pour les hommes – pas vraiment de défauts en particulier ou d’évaluations totales. Cependant, son opinion souligne la difficulté de déterminer ce que la Corée du Nord fait parfaitement. En 2005, le Paiement sur la fonctionnalité intellectuelle des États-Unis concernant les armes de dévastation en volume (ADM), qui a été convoqué pour rechercher l’estimation infructueuse des renseignements fédéraux de 2002 sur la fonctionnalité des ADM irakiens, a établi que nous réalisons «de façon inquiétante les plans d’outils ainsi que beaucoup moins sur les objectifs de bon nombre de nos adversaires les plus nuisibles », dont probablement la Corée du Nord. Aujourd’hui, nous en savons beaucoup plus sur le programme nucléaire de la Corée du Nord, mais c’est surtout ce qu’ils souhaitent que nous sachions. Sur cette page, un ancien analyste et directeur couvre ce que les connaissances américaines savaient dans le passé sur le logiciel et exactement comment les décideurs politiques ont réagi aux conclusions proposées. Les préoccupations concernant le programme nucléaire de la Corée du Nord sont apparues au début des années 80. L’instantané de prolifération a été très différent pendant cette période. La bataille de Chilly était néanmoins en cours et les niveaux de concurrence nucléaire américano-soviétique étaient toujours la principale question du plan à l’étranger. La non-prolifération n’a pas été totalement reconnue comme une norme internationale. Le Traité sur la non-prolifération nucléaire (TNP) était âgé de plus de 10 ans, mais de nombreux endroits importants n’ont pas encore été signés, notamment l’Extrême-Orient, la France, l’Afrique australe, l’Argentine, le Brésil et l’Espagne. Ceux d’entre nous qui ont suivi les innovations en matière de prolifération nucléaire à l’époque se sont inquiétés de ce que l’on appelait parfois la «sale douzaine» de pays familiers comme l’Inde, le Pakistan, l’Iran et l’Irak, mais il en était de même de l’Afrique du Sud, de l’Argentine et du Brésil. . Dans les pays asiatiques, les préoccupations nucléaires de la Corée du Nord n’étaient pas vraiment un concentré d’inquiétude ou de souci de police d’assurance. L’attention s’est concentrée entièrement sur Taïwan et la Corée du Sud. Ces pays du monde entier ont décidé de se concentrer sur les armes nucléaires à partir du milieu des années 70, principalement en réponse à des problèmes concernant la fiabilité des garanties de sécurité américaines. Dans les deux cas, les États-Unis ont compris les initiatives à un stade précoce et ont pris des mesures rapides et efficaces pour les arrêter immédiatement.

La classe moyenne mobile vers le bas

Les enfants de la classe moyenne américaine en col blanc considéraient la vie de leurs pelouses vertes et de leurs appartements urbains comme un champ d’opportunités. Bénis par des écoles de qualité, des vacances à la mer et des camps de nuit, ils savaient simplement que le rêve américain leur appartenait s’ils prenaient les livres, choisissaient une carrière réfléchie et épanouissante et se présentaient.
Jusqu’à ce que ce ne soit pas le cas.
Alors qu’ils jouaient à Twister et imaginaient un avenir brillant, quelqu’un a apparemment décidé que cela n’avait pas vraiment d’importance. Les nuages ​​ont commencé à se rassembler – un sombre scintillement de précarité en constante évolution », comme le décrit la journaliste Alissa Quart dans son nouveau livre opportun, Squeezed: Why Our Families Can’t Afford America».
Les choses que ces enfants considéraient comme leur droit d’aînesse – des collèges réputés, des carrières sûres et des résidences attrayantes – ne les attendaient plus à l’âge adulte.
Aujourd’hui, avec leurs revenus stables ou en baisse, ces Américains se démènent pour conserver un semblant de ce que leurs parents appréciaient. Ils passent de la domination à la domination. D’agir à agir. Formés pour être des éducateurs, des avocats, des bibliothécaires et des comptables, ils font un travail qu’ils ne supportent pas pour soutenir les familles qu’ils voient rarement. Pétrifiés d’être repoussés par des robots, ils se bousculent pour voir les titans financiers et les gourous de la technologie afficher leur richesse obscène à chaque tour.
Les gros titres jaillissent d’une économie bourdonnante, mais ils ne se sentent pas comme une fête pour eux – et ils en ont vu assez pour savoir qui tiendra le sac lorsque la prochaine bulle éclatera.
Les pré-secrétariats moyens », selon l’expression de Quart, subissent la mort de mille dégradations. Leur nouvelle réalité: vous ne ferez pas aussi bien que vos parents. La vie est une lutte pour suivre. Même si vous réalisez quelque chose, vous vivrez dans la peur de le perdre. L’Amérique n’est pas votre terre: elle appartient aux ultra-riches.
Une grande partie du livre de Quart met en évidence l’image miroir des électeurs Trump de la classe moyenne mobiles vers le bas, originaires de régions économiquement tendues comme le Midwest, qui ont aidé à jeter une clé de singe dans la politique comme d’habitude. Dans sa tournée de frustration américaine, elle parle à des citadins qui sont libéraux et ne s’attendaient pas à se noyer dans la dette et la déception. Tout comme les électeurs de Trump qui ont perdu du terrain, ces gens sentent leur statut déchiré, leurs espoirs déçus.
Si gravir les échelons du succès est la grande histoire américaine, la faire glisser est la tragédie par excellence. Difficile de ne pas le prendre personnellement: les rangs du précariat moyen sont remplis de honte.
Ce sont des corps qui se transforment en non-corps.
Et il y a des signes qu’ils commencent à se révolter. S’ils le font, ils pourraient laisser leur propre empreinte dans le paysage politique du pays.
La bourgeoisie brisée
Le livre de Quart jette un regard sobre sur la bourgeoisie nouvellement instable, illustrant ce qui se passe lorsque l’inégalité américaine dérape sur ceux qui ont toujours cru qu’ils finiraient gagnants.
Il y a le comptable de Virginie qui bifurque près de 90% de son salaire net pour s’occuper de ses trois enfants; le professeur auxiliaire de Chicago avec l’enfant handicapé qui gagne moins de 24 000 $ par an; et la journaliste d’affaires californienne qui se concentrait autrefois sur les difficultés financières des autres et qui est maintenant elle-même confrontée au chômage.
Il y a des professeurs de conduite Uber et des diplômés des facultés de droit qui examinent les documents pour 20 $ de l’heure ou moins. Ligueurs de lierre qui vivent de bons d’alimentation.
Manquant d’unions, de communautés ecclésiastiques et de proches parents proches pour les soutenir, les Precariats intermédiaires sont isolés et bloqués. Leur travail a craché dans des contingences sporadiques: ils se contentent de contrats à court terme ou de travail posté. (Malgré le faible taux de chômage très claironné, le New York Times rapporte que les emplois sont souvent médiocres, avec peu de stabilité et de sécurité). Il était une fois, seuls les travailleurs pauvres prenaient un deuxième emploi pour rester à flot. Maintenant, le Précariat Moyen les a rejoints.
Quart documente les mesures désespérées prises par les personnes qui essaient de garder leur apparence, en s’appuyant sur des garderies extrêmes 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 »pour s’adapter à des horaires imprévisibles ou pour concocter des arrangements de cohabitation afin de réduire les coûts du ménage. Ils s’efforcent de fournir des choses comme des tuteurs académiques et des activités sportives à leurs enfants qui doivent rivaliser avec les enfants des riches. Au fond, ils savent qu’ils ne peuvent probablement pas transmettre la classe culturelle et sociale qu’ils tenaient autrefois pour acquise.
Quart cite une litanie de statistiques sinistres qui mesurent la qualité de leur vie, comme le fait qu’une existence de classe moyenne est maintenant 30% plus chère qu’elle ne l’était il y a vingt ans, une période où le prix des soins de santé et le coût des un diplôme de quatre ans dans un collège public a presque doublé.
Squeezed est particulièrement détaillé sur le sort des femmes du Précariat moyen, comme celles qui ont l’effronterie de procréer ou de vieillir. Avec le fardeau supplémentaire du travail de soins, la discrimination liée à la grossesse, les congés familiaux inadéquats et les disparités salariales (sans parler du harcèlement sexuel, un sujet non couvert), les femmes subissent une double pression. Pour les femmes de couleur, qui manquent souvent de richesse intergénérationnelle pour soulager la douleur, faites-en une triple pression.
Le précariat moyen à l’âge mûr n’est pas un joli spectacle: sans la protection des syndicats ou un filet de sécurité fiable, ils subissent des pertes d’emplois, des économies réduites et des identités brisées. Dans l’un des chapitres les plus tristes, Quart décrit comment les plus courageux essaient de se réinventer dans la quarantaine ou la cinquantaine, s’inscrivant à des cours professionnels et à des programmes de certification qui promettent une nouvelle chance à la sécurité, pour constater qu’ils ont été arnaqués par des spécialistes du marketing avides et trompeurs. mavens d’entraide qui les laissent plus désespérés qu’auparavant.
Quart note que même ceux qui gagnent des salaires décents aux États-Unis se voient désormais exclus du club du pouvoir et de la richesse. Ils peuvent avoir des actifs illiquides comme des maisons et des comptes de retraite, mais ils se considèrent toujours comme des difficultés financières. Gagner 100 000 $ semble merveilleux jusqu’à ce que vous ayez dépensé plus de la moitié pour le logement et 30% pour la garde d’enfants. Chaque jour est un peu de malchance loin d’une catastrophe.
Le succès spectaculaire de 0,1%, une infime partie de la société, montre à quel point le système social actuel est bloqué, stagnant et impuissant, ce qui a fait la classe moyenne – même les 10% qui sont de la classe moyenne supérieure », écrit Quart.
Quart sait que les problèmes de ceux qui semblent relativement privilégiés peuvent ne pas susciter de sympathie immédiate. Mais elle note à juste titre que leurs tensions sont un baromètre de la concentration de l’extrême richesse dans certaines villes américaines et du fossé qui s’élargit entre les très riches et tout le monde.
La double économie
La création des deux partis politiques, nourrie par les donateurs, pourrait ou non voir cela arriver, mais certains économistes prémonitoires ont tiré la sonnette d’alarme.
Dans son livre de 2016 The Vanishing Middle Class, l’économiste du MIT, Peter Temin, a expliqué comment les États-Unis se sont séparés en une double économie »au cours des dernières décennies, s’orientant vers un modèle qui est structuré économiquement et politiquement plus comme une nation en développement – une pleurer de l’après-guerre où la classe moyenne américaine prospérait.
Dans les économies duales, les riches et les autres se séparent alors que la classe moyenne autrefois solide commence à disparaître. Les gens sont divisés en mondes distincts selon les types d’emplois qu’ils occupent, les écoles que leurs enfants fréquentent, leurs soins de santé, leurs transports, leur logement et leurs réseaux sociaux – vous l’appelez. Les billets du secteur inférieur, comme un diplôme d’une université de premier ordre, se raréfient. Les gens des deux royaumes deviennent des étrangers.
L’économiste français Thomas Picketty a fourni une formule austère pour ce qui se passe le capitalisme n’est pas réglementé dans son best-seller de 2015, Capital in the Twenty-First Century Cela se passe comme suit: lorsque le taux de rendement des investissements des riches dépasse le taux de croissance des économie globale, les riches deviennent exponentiellement plus riches tandis que tout le monde devient plus pauvre. Dans des temps plus sensibles, comme les décennies qui ont suivi la Seconde Guerre mondiale, cette règle a été atténuée par un gouvernement américain qui a forcé les riches à payer leur part d’impôts, a freiné les pires prédations des entreprises et a veillé à ce que les routes, les ponts, les transports en commun et les écoles ont été construits et entretenus.
Mais c’est tout un souvenir qui s’estompe. Sous l’influence de l’argent politique, les politiciens ne recherchent plus une économie et une société unifiées où la classe moyenne peut s’épanouir. Comme Quart l’observe, les États-Unis sont le pays le plus riche et le plus inégal du monde, avec le plus grand écart d’inégalité de richesse des deux cents pays dans le Global Wealth Report de 2015.
Qui est à blâmer?
Maintes et maintes fois, les personnes interrogées par Quart ont tendance à se blâmer pour leur situation – si seulement ils avaient choisi une carrière différente, vécu dans une autre ville, peut-être que les choses ne se seraient pas passées comme ça. Parfois, ils pointent du doigt les robots et l’automatisation, bien qu’ils aient sans doute beaucoup plus à craindre des humains riches qui possèdent les robots.
Mais certains se rendent compte que ce sont les riches et leurs politiciens rachetés qui les ont systématiquement et délibérément privés de pouvoir. Des privations telles que des droits dérisoires pour les employés, des services de garde inadéquats, des soins de santé ridiculement chers et une sécurité de retraite inexistante ne se sont pas simplement produites. Des mots abstraits comme la déréglementation et la mondialisation deviennent concrets: quelqu’un vous l’a fait en promouvant des politiques qui vous laissent haut et sec.
Comme Quart l’indique, comprendre cela est la première étape d’un changement de conscience, et son livre fait partie de ce changement.
Hors de cette conscience, de nombreux individus et organisations travaillent avec acharnement et parfois ingénieusement pour modifier la trajectoire négative du précariat moyen. Quart présente des propositions et des développements tels que la consolidation de la dette à petite échelle, la remise de la dette des étudiants, des garderies convenablement subventionnées et des syndicats non traditionnels qui pourraient aider.
L’Amérique a également un historique de solutions larges et fondamentales qui ont déjà fait leurs preuves. Le revenu de base universel peut sembler attrayant, mais nous avons déjà un programme qui pourrait améliorer le sort de la classe moyenne s’il était élargi: la sécurité sociale.
À l’heure actuelle, un travailleur cesse de payer des impôts sur la sécurité sociale pour tout revenu supérieur à 128 400 $, un chiffre déraisonnablement bas car les riches souhaitent le garder. En augmentant simplement ce plafond, nous pourrions abaisser l’âge de la retraite afin que les Américains dans la soixantaine n’aient pas accueilli les clients de Walmart. Davantage de possibilités s’ouvriraient aux jeunes travailleurs.
On pourrait pardonner au précariat moyen de soupçonner que les suzerains de la Silicon Valley pourraient avoir autre chose que l’altruisme en tête lorsqu’ils vantent le revenu de base universel. Evadeurs d’impôts épiques, ils ont tout à gagner à pousser la responsabilité de leurs travailleurs à bas salaires et le filet de sécurité et les services publics inadéquats qu’ils ont contribué à créer sur les contribuables ordinaires.
Au-delà du revenu de base, il y a un fait fondamental: les riches américains ne paient pas leur part d’impôts. En fait, les travailleurs américains paient deux fois plus d’impôts que les riches investisseurs. C’est pourquoi les infrastructures s’effondrent, les écoles se détériorent et des soins de santé et des services de garde raisonnables ne sont pas disponibles.
La plupart des Américains se rendent compte que les inégalités doivent être combattues par le biais du code des impôts: un sondage Gallup de 2017 montre que la majorité pense que les riches et les entreprises ne paient pas assez. Les politiciens, bien sûr, l’ignorent pour plaire à leurs donateurs.
Et donc le Précariat Moyen, comme les électeurs de Trump, en a marre d’eux.
De déprimé à dynamisé
Quart souligne avec astuce que l’inégalité des revenus est inscrite dans la loi du pays. Financés par les efforts de milliardaires comme les frères Koch, les politiciens ont modifié les lois et les constitutions à travers le pays pour cimenter la double économie à travers tout, de la restriction des droits de vote au financement de l’éducation publique.
Plusieurs secrétariats intermédiaires de Squeezed se sont tournés vers des candidats indépendants ou renégats comme Bernie Sanders qui offrent des programmes vastes et substantiels comme des collèges sans dette et des soins de santé universels qui traitent des fissures dans leur vie. Ils écoutent des candidats qui n’ont pas peur de dire que les marchés devraient fonctionner pour les êtres humains, et non l’inverse.
Si l’ascension politique de Donald Trump peut être comprise comme l’expression du fossé entre les citoyens de la classe moyenne et les classes dirigeantes américaines », comme l’observe Quart, la récente vague de candidats démocrates non établis, en particulier les socialistes démocrates, pourrait être la prochaine phase de une révolte de la classe moyenne.
De récentes victoires surprises en Pennsylvanie et à New York dans les primaires démocrates par des candidates embrassant ouvertement le socialisme démocratique, y compris Alexandria Ocasio-Cortez, qui a battu le fidèle démocrate Joe Crowley en se présentant au Congrès sur une plate-forme de Medicare gratuite et de frais de scolarité pour tous, peut pas le blip que les démocrates de l’establishment espèrent. À New York, la socialiste démocrate Julia Salazar cherche à renverser le sénateur de longue date, Martin Dilan. L’actrice Cynthia Nixon, contre le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, vient de se proclamer socialiste démocratique et promet d’augmenter les impôts des riches et d’augmenter le financement des écoles publiques. Michelle Goldberg a récemment annoncé dans le New York Times que les socialistes du millénaire arrivent », ce qui indique la profonde aversion pour la politique traditionnelle dans les centres urbains. Ces jeunes ne pensent pas que des choses comme le collège sans dette ou les congés familiaux payés sont radicales: ils voient cela comme ailleurs dans le monde et n’acceptent pas que cela ne puisse pas être fait en Amérique.
Historiquement, la partie la plus aisée de la classe moyenne a tendance à s’identifier aux riches et à les soutenir. Après tout, ils pourraient un jour rejoindre leurs rangs. Mais à la fin de ce rêve, les anciens sécurisés pourraient décider de se lancer avec les autres secrétariats. C’est alors que vous avez la possibilité d’un véritable mouvement de masse pour le changement.
Bien sûr, les gens doivent reconnaître leur situation et leur destin communs. Les habitants urbains de New York et de San Francisco doivent voir ce qu’ils ont en commun avec les électeurs de la classe moyenne Trump de Rust Belt, ainsi qu’avec les Américains de la classe ouvrière et tous les autres qui ne sont pas ultra-riches.
Si les rangs croissants des Précariats peuvent travailler ensemble, il ne faudra peut-être pas une catastrophe naturelle ou une guerre ou de violents bouleversements sociaux pour changer le cours insoutenable de l’Amérique de l’inégalité flagrante. Parce que finalement, quelque chose doit donner.